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Mythologie
 
 

 

 

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Les Capétiens


CHAPITRE PREMIER : Les quatre premiers Capétiens (987 à 1108)


I : Hugues Capet (987 à 996)

 

            1° Hugues Capet, duc des Francs (940 à 987) – Hugues Capet[1], né vers 940, était l’aîné d’Hugues le Grand, comte de Paris et duc de Bourgogne. A la mort de son père, en juin 956, Hugues reçut le comté de Paris ainsi que la titulature de duc des Francs[2] ; son frère Eudes (plus tard rebaptisé Henri), quant à lui, eut la Bourgogne.

 

a) La question des sources : l’étude du règne d’Hugues Capet pose la question des sources. A l’instar des derniers Carolingiens, la vie de ce souverain nous est quelque peu méconnue. Ainsi, nous ne disposons aujourd’hui que d’une source principale : Histoire, par le moine Richer de Reims. Toutefois, cette chronique rédigée par un partisan d’Hugues Capet présente un récit très romancé, ayant transposé dans son récit des évènements postérieur au règne du premier Capétien.

 

b) La jeunesse d’Hugues Capet (940 à 970) : jugé trop jeune pour régner, la régence fut confiée à Brunon, archevêque de Cologne et duc de Lotharingie[3]. Ce dernier était le frère d’Othon I°, roi de Germanie, qui avait réussi à s’emparer de nombreuses provinces de l’ancien Empire de Charlemagne (la Lotharingie, l’Italie, et la Bourgogne[4]).

Ainsi, alors que le royaume de Francie occidentale[5] s’était réduit à un triangle reliant Laon, Compiègne, et Reims, Othon I° profitait des dissensions entre Capétiens et Carolingiens[6] pour étendre son influence.

 

En 960, Hugues Capet reçut finalement le comté de Paris des mains d’Othon I°, mais à cette date de nombreux seigneurs avaient profité de la régence pour prendre leur indépendance. Ainsi, le duc des Francs régna sur un territoire bien moins important que son père ; en outre, Hugues Capet, affaibli, fut bien moins hostile envers les Carolingiens que ne l’était Hugues le Grand.

 

Preuve de cet affaiblissement de l’autorité du duc des Francs, de nombreux vassaux quittèrent ses rangs pour rejoindre l’armée du roi Lothaire[7].

Ainsi, contrairement aux dires des historiens du XIX° siècle, le duc des Francs n’était pas le plus puissants des seigneurs du royaume, ni un roi sans en porter le titre.

 

c) La fin de la dynastie carolingienne (970 à 987) : à contrario, les derniers souverains carolingiens ne furent pas des fantoches, contrairement aux derniers Mérovingiens qui avaient cessé de régner près d’un siècle avant leur déposition[8].

Même si le royaume de Francie était considérablement amoindri, ces derniers firent preuve d’un certain effort combattif : ainsi, le roi Lothaire marcha à l’été 978 sur Aix-la-Chapelle, capitale d’Othon II[9] ; en 985, il s’empara de Verdun, en Lotharingie.

 

A cette occasion, Lothaire demanda à Adalbéron, archevêque de Reims, d’envoyer des troupes en garnison à Verdun ; mais aussi d’écrire aux archevêques de Trèves, Cologne et Mayence, qu’il était favorable au souverain carolingien.

Sachant que l’ecclésiastique, favorable aux othoniens, jouait double-jeu, Lothaire convoqua une assemblée à Compiègne, en mai 985, afin de destituer Adalbéron. Toutefois, Hugues Capet décida d’intervenir et fit annuler le concile.

 

A la mort de Lothaire, en 986, son fils Louis V lui succéda. Le jeune homme, âgé de vingt ans, décida de convoquer une assemblée à Compiègne, afin de déposer Adalbéron, archevêque de Reims.

Toutefois, le roi des Francs mourut d’une chute de cheval en mai 987, alors qu’il chassait dans la forêt de Senlis. Décédé après seulement un an de règne, Louis V fut surnommé le Fainéant, car il n’avait eu le temps de rien faire.

 

d) L’élection de 987 : le défunt n’ayant pas eu d’enfants, une assemblée se réunit à Senlis en juin 987, afin d’élire un nouveau roi.

 

A cette date, la dynastie carolingienne n’était pas éteinte, son dernier représentant étant Charles, l’oncle de Louis V[10]. Toutefois, ce dernier fut écarté par les prélats, accusé d’avoir prêté hommage à un souverain étranger (il avait reçu la basse-Lotharingie en 976), d’avoir conspiré contre la Francie (il avait participé à l’expédition d’Othon II en 978), et d’avoir épousé Gerberge, fille d’Henri I° l’Oiseleur[11], roi de Germanie.

 

Hugues Capet, bénéficiant du soutien des évêques, reçut alors la couronne de Francie.

A l’été 987, il fut sacré roi dans la cathédrale de Noyon (ou de Reims ?) par Adalbéron, archevêque de Reims. C’est ainsi que naquit la dynastie des Capétiens.

L'élection d'Hugues Capet, gravure issue de l'ouvrage Histoire de France, par François GUIZOT, France, 1875.

 

            2° La France au XI° siècle– le roi des Francs n’était guère puissant au XI° siècle. Ce dernier ne régnait que sur le domaine royal, c'est-à-dire le comté de Paris.

Son territoire comprenait Paris, Poissy, Compiègne, ainsi qu’Orléans et ses environs. Cela correspondait environ à un de nos départements actuels.

La France en 987.

 

a) L’avènement de la féodalité : si en théorie, le roi régnait sur toute la Francie, en pratique les choses étaient différentes.

Les grands du royaume, bien que prêtant hommage à Hugues Capet, vivaient dans une complète autonomie. Ces derniers, qui ne payaient pas l’impôt au temps de Charlemagne, avaient profité de l’affaiblissement royal pour obtenir l’hérédité de leurs charges.

Mais les seigneurs, bien qu’agissant en toute indépendance, étaient toutefois tenus de prêter hommage au roi.

 

Au XI° siècle, la Francie était donc divisée en plusieurs marches[12], comtés[13] et duchés[14] : outre le comté de Paris, les principales seigneuries étaient le comté de Flandre (attaqué par les Normands qui s’étaient alliés aux Capétiens, le comte de Flandre était donc proche des Carolingiens) ; le duché de Normandie (fidèle aux Capétiens) ; le comté de Vermandois (ses dirigeants jouaient une politique de double jeu entre les deux familles royales) ; le comté de Blois (ce dernier avait obtenu son indépendance pendant la minorité d’Hugues Capet) ; le duché de Bourgogne (appartenant au frère d’Hugues Capet, le duché de Bourgogne fut pendant quatre siècles un des principaux soutiens de la monarchie) ; le comté d’Anjou (hostile au comté de Blois, et donc proche des Capétiens) ; et le duché de Bretagne (très affaibli par les invasions normandes).

 

Les premiers rois de Francie disposant d’une zone d’influence qui ne dépassait pas la région parisienne, les aristocrates du sud de la Loire furent encore plus indépendants, adoptant une langue et des coutumes différentes de celle du nord du pays. L’on retrouvait : le duché d’Aquitaine (il s’agissait du plus grand duché du royaume, couvrant un quart de la Francie) ; le duché de Gascogne (annexé par l’Aquitaine dès 1050) ; le comté de Toulouse (lui aussi en lutte contre l’Aquitaine) ; la marche de Septimanie[15] (annexée par le comté de Toulouse à la fin du XI° siècle) ; et le comté de Barcelone (ce comté situé au sud des Pyrénées n’avait pas prêté hommage au roi des Francs, et ne faisait donc plus partie du royaume).

 

Outre ces duchés et comtés rattachés à la Francie, l’on retrouvait la Germanie, gouvernée par Othon III[16] ; le royaume de Bourgogne, indépendant depuis 888, gouverné par Rodolphe III[17] ; l’Espagne, sous domination musulmane depuis le VIII° siècle[18] ; ainsi que l’Angleterre, qui était toujours en proie aux luttes entre les souverains saxons et les envahisseurs normands[19].

 

b) Les forces de la monarchie capétiennes : les premiers rois de Francie, régnant sur un petit domaine royal, bénéficiait donc de revenus restreint et d’une armée de taille réduite.

 

Toutefois, la monarchie bénéficiait d’avantages dont ne disposait pas ses adversaires : le sacre faisait du roi un souverain de droit divin, représentant de Dieu sur terre ; le roi était suzerain de tous les nobles du royaume ne relevant pas d’un duc ou d’un comte, et pouvait exiger d’eux le serment de fidélité ; enfin, il pouvait s’emparer de fiefs tombés en déshérence, confisquer les possessions de seigneurs parjures ou félons, et avait aussi un droit de garde sur les héritiers de fiefs mineurs.

 

Au cours du XI° siècle, les rois de Francie s’appuyèrent sur l’Eglise afin d’assoir leur légitimité. Ainsi, en échange de dons et de constructions religieuses, les premiers capétiens bénéficièrent du soutien des évêchés, qui fournissaient le gros des troupes de l’armée royale.

 

            3° La guerre contre Charles de Lorraine (988 à 991) – Suite à son couronnement, Hugues Capet fut contraint de faire face à Charles, oncle de Louis V, qui réclamait la couronne.

Hugues Capet, par RAGGI, XIX° siècle, château de Versailles, Versailles.

 

a) Le sacre de Robert II (Noël 987) : à la tête d’une monarchie instable, et soucieux de s’assurer de la perpétuation de sa dynastie, le roi des Francs tenta de faire couronner son fils Robert, qu’il avait eu vers 972 avec Adélaïde, fille du duc d’Aquitaine.

 

Toutefois, Adalbéron, archevêque de Reims, refusa de procéder au sacre, car, fidèle aux othoniens, il était hostile à une monarchie capétienne forte.

Gerbert d’Aurillac[20], écolâtre[21] de la cathédrale de Reims, expliqua à Adalbéron que le Borell II, comte de Barcelone, avait demandé le secours du roi des Francs. Ainsi, si ce dernier partait pour l’Espagne, il avait besoin d’un successeur afin d’assurer la régence du royaume.

Finalement, l’archevêque de Reims s’inclina, couronnant Robert II à Orléans, le 25 décembre 987[22].

 

Pendant deux siècles, les Capétiens prirent coutume de faire couronner de leur vivant leur fils aîné. Ainsi, grâce à cet usage, la royauté qui était élective à l’avènement des Capétiens, devint héréditaire, comme sous la dynastie mérovingienne et carolingienne.

 

L’année suivante, Hugues Capet n’ayant pas réussi à marier son fils à une princesse byzantine, il lui fit épouser Rozala, fille de Bérenger II, roi d’Italie[23]. Cette dernière, veuve d’Arnoul II, comte de Flandre, apportait en dot Montreuil et le comté de Ponthieu.

Toutefois, Rozala ayant vingt ans de plus que son époux, le couple ne s’entendit pas, et le divorce fut prononcé vers 991 (Robert II conserva toutefois la dot de son épouse).

 

b) Guerre contre Charles de Lorraine (988 à 991) : alors qu’Hugues Capet avait reçu l’hommage des grands du royaume suite à son sacre, Charles de Lorraine réunit auprès de lui les mécontents, soucieux d’en découdre avec le Capétien.

 

Ce dernier, bénéficiant du soutien d’Herbert III, comte de Vermandois, d’Arnoul II de Flandre, et de Seguin, archevêque de Sens, Charles attaqua Laon en 988.

Hugues Capet, en représailles, fit excommunier Charles, puis lança une contre-offensive pour reprendre Laon. Toutefois, l’armée royale fut mise en déroute, et le Capétien tenta en vain de mettre en place des pourparlers.

 

L’année suivante, Charles s’empara de la région de Soissons, menaçant désormais Reims. L’archevêque Adalbéron étant décédé en janvier 989, Hugues Capet décida de nommer comme successeur Arnoul, un fils illégitime de Lothaire.

Cependant, ce dernier ouvrir les portes de Reims à son oncle Charles, qui s’empara de la cité.

Suite à ce coup de force, Eudes I°, comte de Blois, commença à se rapprocher du Carolingien.

 

En 990, Hugues Capet tenta en vain de chercher de l’aide auprès de la Germanie et du pape, puis vint assiéger Reims. L’hiver arrivant, le roi des Francs fut contraint de sonner la retraite.  

 

L’année suivante, Adalbéron, évêque de Laon[24], chassé de la ville par Charles en 988, fit mine de faire soumission auprès du Carolingien. Jurant fidélité, Adalbéron ouvrit les portes de la ville à ses troupes à la nuit tombée.

Il s’empara alors de Charles, de sa femme et de ses enfants, qui furent remis à Hugues Capet (ce dernier enferma son rival à Orléans, où il mourut à une date inconnue[25]).

 

A noter toutefois que cette trahison de la parole donnée ternit considérablement la réputation d’Adalbéron, mais aussi celle du roi des Francs.

Suite à cet évènement, la légitimité d’Hugues Capet fut contestée par de nombreux seigneurs, particulièrement dans les provinces du sud de la Loire.

 

A noter qu’à l’issue de la capture du Carolingien, le roi des Francs convoqua un concile en juin 991. A l’issue de plusieurs jours de discussions, les évêques déposèrent Arnoul, qui avait ouvert les portes de Reims à Charles, ce dernier étant remplacé par Gerbert d’Aurillac.

 

            4° La guerre contre Eudes de Blois (991 à 996) –Après avoir remporté la lutte contre Charles de Blois, Hugues Capet fut contraint de faire face à Eudes I°, comte de Blois, dont les Etats encerclaient ceux du Capétien.

 

a) La guerre de 991 : en 991, Eudes I° s’empara de Dreux, puis de Melun, possession de Bouchard le Vénérable, comte de Vendôme (ce dernier était un proche du roi de Francie).

 

A cette date, Hugues Capet organisa une coalition contre Eudes, regroupant Richard I°, duc de Normandie, et Foulques III le Noir, comte d’Anjou.

Le comte de Blois, vaincu, fut alors contraint de rendre Melun à Bouchard ; toutefois, il tenta de s’emparer de Nantes, mais fut repoussé par Foulques III.

 

b) Le guet-apens de Metz (993) : toujours remuant, Eudes souhaitait recevoir la titulature du duc des Francs, afin d’officialiser sa seconde place dans le royaume. Toutefois, comme les Carolingiens et les Capétiens ayant reçu cette titulature avaient fini par renverser la dynastie régnante, Hugues refusa d’exaucer le comte de Blois.

 

Eudes élabora alors un plan avec Adalbéron, évêque de Laon. Une rencontre entre Hugues Capet et Othon III étant prévue à Metz, le comte de Blois imagina de faire prisonnier le roi et son fils, afin de placer sur le trône Louis, fils de Charles de Lorraine.

Ainsi, Eudes deviendrait duc des Francs, et Adalbéron archevêque de Reims.

Toutefois, Hugues Capet, informé des plans de son rival, ne se rendit pas à l’entrevue.

 

c) La guerre de 995-996 : en 995, le comte de Blois s’attaqua à Foulques III, comte d’Anjou, qui avait des vues sur la Bretagne.

Pour mener à bien ses projets, Eudes s’allia avec Conan I°, duc de Bretagne, Guillaume IV, duc d’Aquitaine, Baudouin IV le Barbu, comte de Flandre[26], et Richard I°, duc de Normandie.

 

Les coalisés assiégèrent alors le château de Langeais, où s’était réfugié Foulques III. Cependant, l’arrivée d’Hugues Capet, au printemps 996, entraîna une dislocation de la coalition organisée par le comte de Blois.

 

d) La fin de règne d’Hugues Capet (996 à 997) : Eudes mourut en mars 996, suivi par Hugues Capet vers le mois d’octobre.

Le roi des Francs, peut être décédé de la variole, fut inhumé dans la basilique Saint Denis auprès de son grand-oncle Eudes[27]. Cet édifice, où avaient été inhumés plusieurs souverains mérovingiens et carolingiens, devint au fil des siècles la nécropole royale.

 

Le défunt n’ayant eu qu’un fils, Robert II, ce dernier monta sur le trône en 996.

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[1] Ce dernier fut surnommé ainsi car il avait l’habitude de porter une cape (peut être la chape d’abbé laïc de Saint Martin de Tours ?).

[2] La titulature de duc des Francs avait été accordée à Hugues le Grand par le roi Louis IV d’Outremer en 936. A noter qu’il s’agissait d’une ancienne titulature mérovingienne (voir à ce sujet le 1, section I, chapitre premier, les Carolingiens).

[3] C'est-à-dire l’actuelle Lorraine.

[4] Au X° siècle, la Bourgogne était divisée en deux entités : le duché de Bourgogne, entre les mains d’Eudes (Henri) ; et le royaume de Bourgogne, appartenant à Conrad III.

[5] Suite au partage de 843, l’Empire carolingien fut divisé en trois entités : la Francie occidentale pour Charles le Chauve, la Francie médiane pour Lothaire, et la Francie orientale pour Louis le Germanique. Toutefois, la Francie médiane disparut en l’espace de quelques années, et le terme de Francie orientale laissa peu à peu sa place à celui de Germanie. Ainsi, la Francie occidentale fut peu à peu appelée Francie. Pour en savoir plus sur le partage de 843, voir le b), 2, section II, chapitre troisième, les Carolingiens.

[6] A noter que la France était le seul pays à être gouverné par un souverain carolingien.

[7] Pour en savoir plus sur le règne de Lothaire, voir le 7, section IV, chapitre troisième, les Carolingiens.

[8] Pour plus de renseignements sur la dynastie mérovingienne, cliquez ici.

[9] Othon II était le fils d’Othon I°, monté sur le trône suite à la mort de son père.

[10] Il s’agissait du frère de Lothaire.

[11] Henri I° était le père d’Othon I°.

[12] Les marches, héritées de l’époque de Charlemagne, avaient été érigées sur des zones sensibles. Ces dernières étaient confiées à des marquis, qui disposaient de pouvoirs militaires exceptionnels, pouvant lever une armée sans le consentement du roi (l’objectif était de réagir au plus vite en cas d’invasion étrangère).

[13] Depuis l’époque mérovingienne, le comté formait la base du système administratif. Les comtes (ou comes, « compagnon » du roi), à l’origine nommés par le souverain, régnaient sur des circonscriptions, les pagi (qui a donné « pays » en français), dont le découpage était hérité de l’Empire romain.

[14] Les ducs étaient des vassaux du roi qui avaient réuni plusieurs comtés.

[15] C'est-à-dire l’actuel Languedoc.

[16] Ce dernier était le fils d’Othon II.

[17] Pour en savoir plus sur l’indépendance de la Bourgogne, voir le b), 8, section III, chapitre troisième, les Carolingiens.

[18] Pour en savoir plus sur les invasions musulmanes, voir le 3, section II, chapitre premier, les Carolingiens.

[19] Pour plus de renseignements à ce sujet, cliquez ici.

[20] Plus tard élu pape sous le nom de Sylvestre II.

[21] L’écolâtre était le maître de l’école cathédrale ou de l’école monastique (ces établissements étaient apparus sous Charlemagne, à une époque où les écoles antiques n’existaient plus).

[22] Borell II ne recevant pas l’aide d’Hugues Capet, il prit son indépendance vis-à-vis du royaume de Francie.

[23] Bérenger II était le petit fils de Bérenger I°, nommé roi d’Italie suite au partage de 888. Il fut évincé du trône en 951 par Othon I°.

[24] A ne pas confondre avec Adalbéron, archevêque de Reims.

[25] Vers 991 ou 1001.

[26] Ce dernier était le fils d’Arnoul II de Flandre.

[27] Les tombeaux d’Hugues Capet et d’Eudes furent réalisés par Saint Louis au XIII° siècle. Toutefois, ces derniers furent détruits lors de la Révolution française (pour en savoir plus sur cet évènement, voir le e), 4, section II, chapitre quatrième, la Révolution française).

 
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